Vouloir changer est une chose, y arriver en est une autre.

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Volatile, Uncertain, Complexe and Ambiguous.

Ce nouvel acronyme désigne le monde actuel du travail.



Volatile car les situations actuelles peuvent évoluer de manière imprévisible et rapide. Cela implique qu’il faut être hautement dynamique et réajuster ses décisions en continu.
Incertain car les situations sont de moins en moins prédictibles. Les résultats ne sont pas garantis et de nouveaux éléments (concurrents, technologies, ..) peuvent émerger à tout moment.
Complexe car le nombres d'interactions, d'intervenants et de systèmes ne font que croître, quel que soit le domaine d'activité.
Ambigu car il est plus en plus difficile de distinguer, sans se tromper, des liens de cause à effet, des situations, des réglementations qui sont de plus en plus sujettes à interprétation.

Si certains considèrent cette période comme la plus excitante jamais connue, elle demande aux entreprises une capacité d'adaptation et de changement jamais atteinte.
Les entreprises doivent se réinventer, adapter leur organisation de travail et leur mode de management pour pouvoir faire face aux nouvelles demandes des clients, nouvelles formes de concurrence ou encore aux exigences des nouvelles générations de travailleurs.
NWoW, Entreprises libérées, autogouvernées ou Opale,......

Les nouvelles formes de travail et/ou d'organisations sont nombreuses.
Elles ont des histoires, des points de départ, des cultures et des objectifs différents.
Elle ont aussi au moins un point commun : elles impactent fortement les relations entres les divers intervenants au sein de l'entreprise et remettent en question le mode de fonctionnement tant individuel que collectif des collaborateurs.

Cet impact est difficilement mesurable et encore moins de façon tangible.
Il est donc souvent sous-estimé voire complètement négligé, menant à une durée plus longue d'adhésion au changement et de retour positif sur le business.
Il est dès lors essentiel d’inclure, dès le départ, dans sa stratégie de changement, un accompagnement du management et des équipes pour leur permettre de s'adapter au plus vite et ainsi atteindre le bien-être et la performance attendue de tels changements.
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NWoW

Le NWoW est devenu populaire en Belgique.  Fréquent dans les entreprises technologiques, de grands groupes du monde financier ont également franchi le pas et des exemples bien connus existent aussi dans la fonction publique.

New World of Working ou New Way of Work,... il n'existe pas de définition unique du NWow ni d’implémentation strandard.
Les experts et intervenants du domaine s'accordent néanmoins sur le fait qu'un tel changement impacte au moins trois domaines au sein des entreprises :
    •    l’espace physique de travail : l’idée est de favoriser la flexibilité concernant le lieu et les horaires de travail, en intégrant des horaires souples, du télé-travail et des espaces de travail variables et spécifiques en vue d’une meilleure adéquation aux tâches ;
    •    les outils : l'utilisation des nouvelles technologies afin de permettre aux travailleurs d’être connectés et donc de collaborer a priori de partout et quand ils le veulent ;
    •    l’organisation et le management : une évolution vers plus de confiance de la part des managers envers leurs employés, l'octroi de plus d’autonomie/responsabilité, la stimulation de l’initiative et de la collaboration  ou encore l’évaluation des résultats plutôt que de la présence physique du travailleur.

Les architectes d'intérieur et les spécialistes en nouvelles technologies peuvent définir et implémenter les changements sur les deux premières dimensions "concrètes".
La troisième dimension touche l’humain, avec ses subtilités, sa complexité et ses émotions.
L'accompagnement par un expert, tel qu'un coach, est vivement conseillé pour l'atteinte du résultat souhaité.

Gouvernance participative et intelligence collective

L’environnement professionnel évolue en permanence et à grande vitesse.  
De plus en plus d’organisations et d’entreprises prennent dès lors conscience qu’impliquer directement les acteurs de terrain, ceux qui savent par la pratique, devient une plus value et une force pour se développer, voire même une obligation pour survivre.

Plus facile à dire qu’à faire. Par où commencer ? Qui réellement impliquer et de quelle manière et surtout dans quels domaines?

Il n’existe pas UNE définition, ni même UN modèle de gouvernance participative mais bien des principes de bases : impliquer les personnes qui savent, définir un cadre précis et évolutif, assurer les liens pour un transfert fluide de l’information, activer l’intelligence collective,….
Ces principes doivent être adaptés à la réalité de chaque organisation et aux objectifs de la mise en place d’un tel mode de gouvernance.

C’est là qu’un regard professionnel extérieur apporte de la richesse et de l’efficacité. Notre équipe de facilitateurs peut se mettre à votre service en fonction de vos besoins.
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